Pompes funèbres : Saint-Benoît (97470) Afficher la carte

Où trouver des pompes funèbres à Saint-Benoît ?

La commune de Saint-Benoît, située sur l’île de la Réunion (région monodépartementale d’Outre-mer et DOM de l’océan Indien), réunit 37 274 habitants, les Bénédictins et Bénédictines.
Le tarif moyen d’une crémation ou d’un enterrement à Saint-Benoît est situé entre 2 000 et 2 500 €. En 2020, on a recensé 231 décès dans la ville de Saint-Benoît.  

Aussi, on repère une préférence pour la crémation plutôt que l’inhumation depuis quelques années. En effet, il apparaît qu’être crématisé pollue presque 4 fois moins qu’être enterré. 

Qu’est-ce qui caractérise la ville de Saint-Benoît ? 
Saint-Benoît se caractérise par la multiplicité de ses points d’eau, cascades et bassins, dont le célèbre bassin bleu. C’est une commune où rafting et canyoning aquatiques font le bonheur des sportifs. 

Les cascades de Takamaka, qui possèdent d’immenses remparts, forment un véritable spectacle naturel. Par ailleurs, l’îlet Bethléem, lieu de pèlerinage sur lequel est édifiée la magnifique chapelle de Bethléem dédiée à Notre-Dame de Fatima, est un lieu de ressource pour les Bénédictins et les visiteurs. 

Enfin, parmi les monuments notables de Saint-Benoît, notons l’église de Sainte-Anne, de style baroque, construite en 1856. Elle est classée au patrimoine historique depuis 1982. 

Pourquoi faire appel aux pompes funèbres de Saint-Benoît ?  
Après déclaration d’un décès à la mairie du lieu de la disparition par les proches, un appel aux pompes funèbres est nécessaire. La loi française oblige les familles à faire appel aux pompes funèbres, seul organisme autorisé à organiser les obsèques. La famille doit réaliser les démarches, avec l’aide du conseiller funéraire, dans les 6 jours ouvrables suivant la mort du défunt. Ce délai peut être allongé selon les circonstances de la mort. 

Les pompes funèbres de La Réunion et de Saint-Benoît soutiennent donc les familles dans leur difficile étape du deuil et organisent les obsèques du défunt dans le strict respect de ses dernières volontés. 

Ainsi, la famille choisit le cercueil ou l’urne funéraire, la pierre tombale, la plaque funéraire, la marbrerie et les fleurs de deuil. Elle donne aussi ses directives pour les soins à pratiquer sur le défunt. 

Ensemble, ils peuvent publier un avis de décès dans la presse ou sur internet. Les proches avertis pourront alors adresser leurs condoléances et organiser leur visite à la cérémonie d’obsèques mise en place par les pompes funèbres de Saint-Benoît. 

Peut-on être enterré avec ses animaux de compagnie ? 
En vertu des articles L. 2223-3 et L. 2223-13 du Code général des collectivités territoriales, être enterré dans un cimetière n’est possible que pour les humains. Le maire ne peut donc pas accepter l’inhumation d’un chat ou d’un chien, ni même de ses cendres dans un tel lieu. Mais nos compagnons peuvent être enterrés dans un cimetière animalier. Ceci en raison du principe de dignité, défini par le Code Civil. La loi autorise pourtant à placer des objets familiers dans le cercueil du défunt (bijoux, boîtes…). 

Plusieurs autres pays tels que la Suisse, l’Allemagne ou la ville de New-York acceptent déjà ce type d’inhumation hybride. 

Loïc Dombreval, député des Alpes-Maritimes, a déposé une proposition de loi dans le but d’autoriser l’inhumation d’un défunt avec les cendres de son animal de compagnie. 
(Crédit photo : iStock)